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To: Hélène David - Ministre responsable de l’Enseignement supérieur / Ministry of Higher Education, le gouvernement du Québec / Government of Quebec
Ce que vous pouvez faire pour #moiaussi au Québec/ What you can do for #metoo in Québec
Promulguez un projet de loi forçant toutes les institutions postsecondaires dans la province de concevoir et de mettre en place des politiques adéquats concernant la prévention de la violence sexuelle et que ses politiques soient sujets à des mécanismes de surveillance pour assurer une mise en place efficace.
Create legislation requiring that all post-secondary institutions in the province develop and implement adequate sexual violence prevention policies, and create oversight mechanisms to ensure that they are effectively implemented.
Create legislation requiring that all post-secondary institutions in the province develop and implement adequate sexual violence prevention policies, and create oversight mechanisms to ensure that they are effectively implemented.
Why is this important?
Une Canadienne sur cinq subira une agression sexuelle au cours de sa vie universitaire. En fait, tout porte à croire que les barrières systémiques qui empêchent plusieurs femmes à signaler des agressions sexuelles rendent cette statistique encore plus élevée.
Sans une politique suffisante concernant la violence sexuelle, les universités n’auront pas les moyens de prévenir le harcèlement et la violence sexuelle subis par des femmes sur leurs campus. Actuellement, il n’y a presque pas d’université au Canada qui va assez loin dans sa politique sur la violence sexuelle et plusieurs ne s’en sont même pas doté d’un.
Le gouvernement du Québec a déjà promis 23 millions de dollars sur cinq ans pour contrer la violence sexuelle dans ses institutions postsecondaires et la ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieure, Helène David, a affirmé que ce projet de loi devrait être présenté cet automne.
Il faut que nous nous assurions que ce projet de loi va assez loin et assure que les politiques sur la prévention de la violence sexuelle rédigées par les universités et CEGEPs incluent :
Une clause d'immunité spécifique pour la consommation de drogues et d'alcool.
Protection contre les contacts face à face pendant le processus de plainte.
Mesures provisoires centrées sur le survivant.
Options de plaintes anonymes et organisées par des tierces parties.
Reconnaissance des impacts intersectionnels de la violence sexuelle.
Formation obligatoire en matière de soutien et de sensibilisation à la violence sexuelle pour tous ceux qui sont impliqués dans le processus de plainte
Tierce partie indépendante du comité d'appelExistence de délais clairs
Reconnaissance de la culture du viol sur les campus.
Les Politique ne devrait pas autoriser des :
Délais pour le dépôt d'une plainte formelle
Sanctions menaçantes pour les plaintes vexatoires, malveillantes ou fausses
Motions de bâillon (pendant ou au-delà du processus de plainte)
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1 in 5 Canadian women will experience sexual assault while at university. Evidence suggests that these numbers are actually much higher due to the systemic barriers to reporting assaults that many women face. [1]
Universities have the means to prevent women from experiencing sexual assault and harassment on campus, but they need sufficient policies put in place to do that. Currently, almost no Canadian universities have adequate policies, and many have none at all. [2]
The Government of Quebec has already committed $23 million over five years to counter sexual violence in post-secondary institutions, and Higher Education Minister Hélène David has said that legislation is coming this fall. [3]
We need to make sure that the legislation goes far enough in holding universities and colleges accountable, and that the legislation recommends that educational institutions’ sexual violence prevention policies have:
A Specific Immunity Clause for Drug and Alcohol Use
Protection from Face to Face Encounters During the Complaint Process
Survivor-Centric Interim Measures
Anonymous and Third Party Complaint Options
Recognition of the Intersectional Impacts of Sexual Violence
Required Sexual Violence Support and Sensitivity Training for all those involved in the Complaint Process
Independent Third Party Member of the Appeal Committee
Existence of Clear Timelines
Acknowledgment of Campus Rape Culture
Policies should not have:
Time limits for Filing a Formal Complaint
Threatening Sanctions for Vexatious, Malicious or False Complaints
Gag Order (During or Beyond the Complaint Process)
A Loophole whereby a complaint can be suspended if the respondent ends their relationship with the school (i.e. transfers or drops out) [4]
Sources:
[1][4] http://s3.documentcloud.org/documents/4106721/Our-Turn-Action-Plan-Final-English-2.pdf
[2] http://www.universityaffairs.ca/news/news-article/universities-across-canada-implement-sexual-violence-policies/]
[3]http://montrealgazette.com/news/local-news/quebec-to-invest-23-million-to-fight-sexual-violence-on-campuses
Sans une politique suffisante concernant la violence sexuelle, les universités n’auront pas les moyens de prévenir le harcèlement et la violence sexuelle subis par des femmes sur leurs campus. Actuellement, il n’y a presque pas d’université au Canada qui va assez loin dans sa politique sur la violence sexuelle et plusieurs ne s’en sont même pas doté d’un.
Le gouvernement du Québec a déjà promis 23 millions de dollars sur cinq ans pour contrer la violence sexuelle dans ses institutions postsecondaires et la ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieure, Helène David, a affirmé que ce projet de loi devrait être présenté cet automne.
Il faut que nous nous assurions que ce projet de loi va assez loin et assure que les politiques sur la prévention de la violence sexuelle rédigées par les universités et CEGEPs incluent :
Une clause d'immunité spécifique pour la consommation de drogues et d'alcool.
Protection contre les contacts face à face pendant le processus de plainte.
Mesures provisoires centrées sur le survivant.
Options de plaintes anonymes et organisées par des tierces parties.
Reconnaissance des impacts intersectionnels de la violence sexuelle.
Formation obligatoire en matière de soutien et de sensibilisation à la violence sexuelle pour tous ceux qui sont impliqués dans le processus de plainte
Tierce partie indépendante du comité d'appelExistence de délais clairs
Reconnaissance de la culture du viol sur les campus.
Les Politique ne devrait pas autoriser des :
Délais pour le dépôt d'une plainte formelle
Sanctions menaçantes pour les plaintes vexatoires, malveillantes ou fausses
Motions de bâillon (pendant ou au-delà du processus de plainte)
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1 in 5 Canadian women will experience sexual assault while at university. Evidence suggests that these numbers are actually much higher due to the systemic barriers to reporting assaults that many women face. [1]
Universities have the means to prevent women from experiencing sexual assault and harassment on campus, but they need sufficient policies put in place to do that. Currently, almost no Canadian universities have adequate policies, and many have none at all. [2]
The Government of Quebec has already committed $23 million over five years to counter sexual violence in post-secondary institutions, and Higher Education Minister Hélène David has said that legislation is coming this fall. [3]
We need to make sure that the legislation goes far enough in holding universities and colleges accountable, and that the legislation recommends that educational institutions’ sexual violence prevention policies have:
A Specific Immunity Clause for Drug and Alcohol Use
Protection from Face to Face Encounters During the Complaint Process
Survivor-Centric Interim Measures
Anonymous and Third Party Complaint Options
Recognition of the Intersectional Impacts of Sexual Violence
Required Sexual Violence Support and Sensitivity Training for all those involved in the Complaint Process
Independent Third Party Member of the Appeal Committee
Existence of Clear Timelines
Acknowledgment of Campus Rape Culture
Policies should not have:
Time limits for Filing a Formal Complaint
Threatening Sanctions for Vexatious, Malicious or False Complaints
Gag Order (During or Beyond the Complaint Process)
A Loophole whereby a complaint can be suspended if the respondent ends their relationship with the school (i.e. transfers or drops out) [4]
Sources:
[1][4] http://s3.documentcloud.org/documents/4106721/Our-Turn-Action-Plan-Final-English-2.pdf
[2] http://www.universityaffairs.ca/news/news-article/universities-across-canada-implement-sexual-violence-policies/]
[3]http://montrealgazette.com/news/local-news/quebec-to-invest-23-million-to-fight-sexual-violence-on-campuses